Notre (environnement ?) milieu (nous) est scientifiquement conditionné, artificiel, succès damné de Nature.
Savoir pour Pouvoir (la peur est réactionnelle),
Vouloir (de devoir) se contenter du nécessaire et suffisant, ne pas vouloir paraître capable.
Voilà l’inexorable consomption de monde (d’un tout, universel brin d’herbe),
Fatale, faute à l’isolement identitaire (déjà élémentaire) et trois niveaux de développement économique Monétaire, de besoins (d’envies irrépressibles), de surcroît à l’incrédibilité de la fin (agonie, aujourd’hui effective) de notre monde, admis (comme La) Création (temporelle, ayant un commencement), divine (éternelle, sans fin), ou spontanée (explosion de rien), à y être résigné, à l’impossibilité (occultée) de l’éviter.
la conscience humaine est distincte de son corps, d’où de la nature.
La nature est le corps (proche de la perfection) de la conscience.
Combinée (en complète interdépendance), la diversité assure sa continuité, Diffère sa dégénérescence.
Voilà l’organisme (charnel, cru) de la conscience, l’objet autorégulé (éliminatoire).