Sentimentale (ainsi voilà notre expression, aussi nos ressentiments).
L’éducation est affective.
Un enfant s’imprègne de ce qu’il ressent de son monde, Attaché à ses parents (exemplaires) et ouvert, sans introspection.
Un adulte continu d’exister (se reconstituer, s’accorder de lui même) au travers de sentiments résultants obsessifs (voir jusqu’à obsessionnels), d’imprégnations indélébiles et imperceptibles en soi, enfermé (conditionné) et réactionnel (compensatoire).
Voilà la (dé)personnalisation (homogénéité spécifique, obéissance, carences et désinhibitive revanche sont perpétuées).
Soit en état mental autosuggestif (à Pouvoir Occulter ce qui nous est inadmissible).
Le sentiment, circonstanciel, est spontané, le rêve, subconscient (personnel), le réinvente.
Je m’Enfume… me panse, me rend ferme (quitte mon défaut).
La Présence (se sentir là, être Ce Là, Comblé) requiert (dès avant la naissance) d’être Introduit (admis) au monde, à l’envie d’y participer, d’exister.
Toute conscience exprime sa présence (son absence).
Voilà l’incommunicabilité (d’être en retrait ou autrement ailleurs).
La télévision (communautaire) est une fenêtre ouverte sur le monde Transcendant la présence (palliant à l’absence),
Approximativement unificatrice (culturelle, Educative).
Aussi l’instrument de notre insatiabilité, nous permettant, pour compenser notre relative absence ou marginalité, d’exister artificiellement par procuration, de séduisantes et impressionnantes (hypnotiques) fictions, à en rester imprégnée.